DOCUMENT D’INFORMATION DU PROJET (PID)
                                                PHASE D’ÉVALUATION
                                                                                           Rapport no : PIDA258
Nom du projet                            Renforcement des capacités institutionnelles et de la gestion du système éducatif (P123315)
Région                                   Moyen-Orient et Afrique du Nord
Pays                                     Djibouti
Secteur(s) :                             Enseignement secondaire (40 %), formation professionnelle (40 %), éducation primaire
                                         (20 %)
Instrument de prêt                       Prêt d’investissement spécifique
Identification du projet                 P123315
Emprunteur(s)                            Ministère des Finances
Organisme d’exécution                    Ministère de l’Éducation nationale et de la Formation professionnelle
Catégorie environnementale               C - Non requis
Date de préparation du PID               20 mars 2012
Date estimée de fin d’évaluation         13 février 2012
Date estimée d’approbation par le        31 mai 2012
Conseil
Décision                                 Compte tenu de la situation sur le terrain, du résultat de l’examen raisonnablement diligent
                                         entrepris par les spécialistes de la protection de la Banque ainsi que du montant limité du
                                         financement impliqué, la catégorie du projet en matière de protection de l’environnement a été
                                         rétrogradée de B évaluation partielle à C. Il est impératif de respecter les bonnes pratiques
                                         (telles que définies dans l’Étude environnementale préparée pour le projet précédent) afin de
                                         limiter les nuisances associées à ces travaux. De plus, en vertu des procédures régionales, ce
                                         projet ne sera pas soumis à l’obligation d’obtenir des autorisations en matière de respect de
                                         l’environnement (uniquement une obligation d’information) dans l’avenir à moins que des
                                         changements n’interviennent dans la situation du projet susceptible d’avoir une incidence sur
                                         la catégorisation environnementale.
Autres décisions


I Contexte du projet
  Contexte national
  Djibouti est un petit pays à faible revenu qui manque de ressources avec une économie de rente qui dépend exagérément
  de son port et des investissements étrangers directs (IDE). Djibouti a eu des taux de croissance positifs au cours des cinq
  dernières années avec une moyenne d’environ 5 %. Au cours de cette même période, les IDE ont représenté 15 % du PIB
  en moyenne. Le gouvernement de Djibouti cherche à diversifier son économie par le développement du secteur privé et
  des industries telles que le tourisme, la pêche, le transport et les services financiers. Afin d’accélérer la croissance de ces
  secteurs, le gouvernement cherche à transcender les profonds retards structurels comme le manque d’infrastructure de
  base, le coût élevé de la main-d’œuvre et le manque d’ouvriers qualifiés en accroissant les investissements dans
  l’infrastructure, le développement du secteur privé et le capital humain.

  Djibouti jouit d’une importante population de jeunes qui pourrait être le moteur de la croissance économique et du
  développement social. Près de 40 % de ses 850 000 habitants ont moins de 15 ans. Compte tenu de la pénurie en
  ressources naturelles et de la population relativement jeune, le développement de Djibouti dépendra de ses ressources
  humaines. Selon la dernière estimation du PNUD, Djibouti se classe 150e sur 172 pays pour l’Indicateur du développement
  humain. Cependant, au cours des dix dernières années, le Taux brut de scolarisation dans l’enseignement primaire a
  presque doublé, passant de 40 % en 1999/2000 à 75 % en 2010/2011. À ce rythme et à en croire les rapports nationaux et
  le Moniteur des Objectifs de développement pour le Millénaire (OMD) de l’ONU, Djibouti est sur la bonne voie et très
  susceptible d’atteindre les OMD de parvenir à un accès universel à l’enseignement primaire, de réaliser l’égalité entre les
  sexes et l’émancipation des femmes, et de réduire la mortalité infantile.
  Djibouti est conscient du rôle primordial de l’éducation et consacre environ un cinquième de son budget national au
  secteur. En 2010, l’éducation a absorbé 19,8 % du budget de l’État (contre un quart en 2005 – 25,8 %), soit environ 8 % du
  PIB. L’Initiative nationale de développement social (INDS) de Djibouti met l’accent sur l’amélioration de la gestion du
  secteur en se donnant pour priorité d’accroître l’accès, la qualité et la pertinence de l’éducation. Le deuxième pilier de
  l’INDS vise à développer les ressources humaines et à améliorer l’accès aux services de base, en particulier : (i) l’accès à
  l’éducation de concert avec une amélioration de la qualité des services éducatifs ; (ii) la réduction des inégalités entre les
  sexes et des disparités géographiques dans le secteur ; et (iii) l’amélioration de la gestion du secteur.

II. Contexte sectoriel et institutionnel
  B.      Contexte sectoriel et institutionnel

  Le système éducatif à Djibouti a fait l’objet de réformes au cours de la précédente décennie en vue d’améliorer l’accès, la
  qualité et la gestion du secteur. Le système éducatif de Djibouti comprend 2 ans de cours préparatoire, 9 ans
  d’enseignements fondamentaux (6 ans d’école primaire et 3 ans de collège), 3 ans d’enseignement secondaire, 2 à 3 ans
  de formation professionnelle ou technique (EFTP) et 4 à 5 ans d’enseignement supérieur et de recherche. La scolarité est
  obligatoire de 6 à 16 ans. En 2000, le ministère de l’Éducation nationale et de l’enseignement supérieur (MENSUP) a
  présenté un Schéma directeur pour l’éducation couvrant une période de dix ans, de 2000 à 2010, en l’assortissant d’une
  série de plans d’action visant à améliorer l’accès, l’équité, la qualité et l’efficacité du système éducatif.

  Quoique l’accès et la couverture de l’éducation se soient améliorés, Djibouti a toujours de sérieux problèmes en termes de
  qualité de l’enseignement et de son adéquation aux besoins de développement du pays. Entre 2008 et 2010, le nombre de
  salles de classe dans les écoles publiques a progressé de 22 % dans l’enseignement fondamental et secondaire (de 1 453
  à 1 774) et le nombre d’étudiants s’est accru de 15 %, atteignant 105 394 étudiants dans ces niveaux en 2010. Le nombre
  de jeunes filles inscrites a augmenté à un rythme beaucoup plus rapide de 18 %, faisant ainsi passer la proportion des filles
  inscrites de 44,6 à 45,3 % au cours des trois années. Le taux de redoublement dans les écoles publiques primaires et
  secondaires est de 4,7 % avec les taux les plus élevés observés au collège où 6,7 % des élèves redoublent (5,7 % en
  secondaire et 3,5 % en primaire). Les résultats obtenus par les élèves à certains tests administrés dans l’enseignement
  primaire mettent en évidence un faible niveau d’acquisition des connaissances. Quoique la taille réduite du secteur privé et
  la saturation du secteur public puissent expliquer les contraintes du côté demande pesant sur l’emploi, l’ensemble des
  acteurs reconnaît que les jeunes n’ont pas les qualifications nécessaires pour entrer sur le marché du travail. Une étude
  effectuée par le ministère de l’Éducation en 2007 est également arrivée à la conclusion que : (i) le système de formation n’a
  pas été en mesure de fournir des diplômés possédant des connaissances pratiques ; (ii) les entreprises n’ont pas été
  impliquées dans la conception de formations débouchant sur un emploi ; (iii) les cours théoriques sont obsolètes ; et (iv) la
  jeunesse ne possède pas les qualifications requises pour comprendre la façon dont les entreprises sont organisées et
  gérées.

  Conscient de ces difficultés, le nouveau Schéma directeur décennal 2010-2019 de l’Éducation nationale met l’accent sur
  l’amélioration de l’efficacité du système éducatif et de la qualité et pertinence de l’éducation en s’axant sur les résultats.
  Une série de diagnostics ont été récemment effectués pour évaluer les résultats du secteur au cours de la dernière
  décennie et le succès de la réforme entreprise. Ces diagnostics comportaient des analyses détaillées de tous les niveaux
  d’enseignement ainsi que de la structure administrative et de sa capacité de gestion. Ces études comprenaient une
  analyse de situation du système scolaire (RESEN), une analyse économique de l’enseignement, des tests pour évaluer les
  performances des élèves du primaire, un audit d’organisation, et une évaluation d’impact de la mobilisation sociale. De
  plus, un Cadre de dépenses à moyen terme a été préparé en 2009 pour couvrir la période 2010 à 2013. Prenant appui sur
  ces études, la nouvelle stratégie de l’éducation se donne pour priorité de mettre en place un système efficace axé sur les
  résultats et garantissant l’accès à l’éducation pour tous ainsi que la qualité et la pertinence de l’enseignement et de la
  formation. Cette stratégie a six objectifs : (i) le renforcement de l’accès à l’éducation et de la scolarisation ; (ii) la réduction
  des disparités en matière d’éducation et de formation ; (iii) l’amélioration de la qualité et de la pertinence de l’enseignement
  et de l’apprentissage ; (iv) le renforcement du développement professionnel des enseignants ; (v) le renforcement des
  capacités en matière de planification, de gestion et de soutien à tous les niveaux ; et (vi) l’apport d’un appui en vue
  d’améliorer la pérennité financière.

  Le nouveau Schéma directeur pour l’éducation accorde également une attention particulière au rôle de l’enseignement
  technique et de la formation professionnelle dans le développement des qualifications requises pour le marché du travail.
  Le développement des compétences figure au rang des priorités accentuées dans la stratégie de développement du
  gouvernement, l’INDS et le Schéma directeur pour l’éducation nationale 2000-2010. À cet effet, en décembre 2007, un
  groupe de travail interministériel du gouvernement a organisé un forum national de trois jours sur l’enseignement et la
  formation techniques et professionnelles (EFTP) ainsi qu’un atelier de deux jours en mai 2008 pour débattre des
  orientations stratégiques à donner à l’EFTP. Le forum a abordé les questions de gouvernance, de partenariats public-privé,
  de financement, de qualité et du secteur non structuré. Un projet de stratégie et un plan d’action ont été élaborés à la suite
  avec l’appui de la Banque mondiale et d’autres partenaires et sont actuellement en cours d’achèvement et de validation.
  8.       Après la création d’un nouveau ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le ministère
  de l’Éducation nationale et de la Formation professionnelle (MENFOP) projette de réorganiser ses services pour les
  harmoniser avec la nouvelle structure et les objectifs du Schéma directeur pour l’enseignement et du Plan d’action. En
  mai 2011, de pair avec la formation d’un nouveau gouvernement, le secteur éducatif a été réorganisé avec la création d’un
  ministère séparé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et le transfert de la formation
  professionnelle, qui était sous la tutelle du ministère du Travail, au ministère de l’Éducation qui est devenu le ministère de
  l’Éducation nationale et de la Formation professionnelle (MENFOP), et qui, en tant que telle, sera également responsable
  de la formation technique et professionnelle. Le MENFOP est en train de mettre en place une nouvelle Direction générale
  de l’EFTP et de réorganiser ses autres services afin de mieux les harmoniser avec les objectifs du Schéma directeur pour
  l’enseignement et du Plan d’action. La Figure 1 en annexe x présente la structure d’organisation actuelle du MENFOP.

III. Objectifs de développement du projet
  II. ODP proposé / Résultats

  A.       Objectif(s) de développement du projet

  L’objectif de développement du projet est de renforcer les capacités institutionnelles en vue d’améliorer la gestion du
  système éducatif. Il s’agirait de procéder à un renfort de l’organisation et des systèmes institutionnels, par la mise en
  œuvre d’outils de gestion et des actions de formation des ressources humaines.

IV. Description du Projet
  Nom de la composante

  Amélioration des capacités institutionnelles et des performances du système éducatif

  Consolider les efforts pour accroître la qualité de l’environnement d’apprentissage


V.
Financemen
t          (en millions de dollars)

  Prêts/Crédits/Autres :                                                                 Montant
  EMPRUNTEUR/BÉNÉFICIAIRE                                                                         0

  Association internationale de développement (IDA)                                               6

  Écart de financement                                                                            0

  Total                                                                                           6


VI. Mise en œuvre
  A.       Accords institutionnels et dispositions de mise en œuvre

  Le MENFOP sera responsable de la mise en œuvre du projet par l’intermédiaire de son Unité d’exécution du projet (BEPE), de ses
  services techniques et d’un Comité de pilotage qui assurera la supervision.

  Comité de pilotage du projet. Un Comité de pilotage du projet (CPP) sera mis en place par décret avant les négociations. Le CPP sera
  dirigé par le ministre ou le secrétaire général du MENFOP et composé de différents directeurs du MENFOP et du responsable du BEPE.
  Le décret indiquera également les termes de référence spécifiques confiés au CPP. Le rôle du CPP sera de : (i) assurer la cohérence
  des activités du projet avec les politiques sectorielles ; (ii) valider les programmes annuels et faire le suivi de leur progrès ainsi que la
  mise en œuvre des activités du projet ; (iii) analyser les difficultés rencontrées dans la mise en œuvre du projet et proposer des solutions
  adéquates ; et (iv) prendre des mesures pour s’assurer de la mise en œuvre efficace du projet.

  Unité d’exécution du projet. Le BEPE, qui a déjà mis en œuvre de précédentes opérations financées par la Banque continuera à être
  responsable de la coordination globale des activités du projet, y compris de tous les aspects fiduciaires ainsi que du suivi et de la
  communication des progrès du projet. Le BEPE est actuellement doté d’un spécialiste en passation des marchés et d’un expert en
  gestion financière. De plus le BEPE recrutera un comptable et un spécialiste en suivi et en évaluation avant les négociations du projet
  comme il l’avait été recommandé dans des évaluations antérieures des capacités du BEPE. Le projet continuera également à soutenir
  des activités visant à renforcer les capacités du personnel du BEPE dans les divers aspects de la gestion de projet.
  Direction générale du ministère. Sous l’égide des directeurs, les diverses directions et services du MENFOP auront pour responsabilité
  de : (i) préparer les termes de référence pour l’assistance technique, les études de formation et les caractéristiques des équipements à
  acquérir dans le cadre du projet en collaboration avec le BEPE ; (ii) élaborer des plans et des budgets de travail annuels pour leurs
  services et unités ; (iii) faire le suivi des progrès accomplis dans la mise en œuvre des programmes de travail ; (iv) préparer des rapports
  trimestriels sur l’état d’avancement à soumettre au CPP et au BEPE ; (v) préparer des rapports annuels pour évaluer les résultats du
  programme et les soumettre au CPP. Ces directions comprendront : la Direction générale de la pédagogie (DGP), la Direction générale
  de l’administration centrale (DGAC) qui comprend la direction des ressources humaines et financières (DRHF), la direction de la
  planification et de l’informatisation (DPI) et le service de la maintenance et des projets (SMP) dont fait partie l’Unité d’exécution du projet
  (BEPE).

  Sous l’égide de la DGAC, la DPI sera responsable de la mise en place d’un système cohérent pour la gestion des indicateurs de
  l’éducation qui intègre les systèmes existants. Ces systèmes seront renforcés pour produire des indicateurs pertinents, en temps
  opportun et systématiquement, qui éclaireront la politique de l’éducation. Le directeur de la DPI aura pour responsabilité de s’assurer
  que toutes les personnes concernées aux niveaux de l’administration centrale, de la zone et de l’établissement reçoivent une formation
  adéquate à la gestion des données et l’appliquent dans l’exécution de leurs programmes de travail. Le DRHF sera responsable de la
  mise en œuvre du Cadre de dépenses à moyen terme en collaboration avec la DPI et le ministère de l’Économie, des Finances et de la
  Planification.

  La Direction générale de l’EFTP, une fois en place, sera responsable de la gestion des activités de formation professionnelle, y compris
  de la préparation des plans opérationnels et du suivi des activités de formation professionnelle. Jusqu’à ce que la Direction soit en place,
  le bureau de l’inspecteur général sera responsable de la gestion des aspects techniques requis pour la mise en place de cette direction,
  tandis que le BEPE conservera la responsabilité de la gestion et du traitement de toutes les exigences fiduciaires. Le projet apportera
  également un appui au MENFOP pour l’instauration d’une direction nationale de l’EFTP. Cette entité ferait le rapprochement entre l’offre
  de compétences produite par le système éducatif et la demande de compétences réclamée par le marché du travail. La direction
  nationale prendra la forme d’un partenariat public-privé comptant des représentants des ministères compétents (par exemple, de
  l’enseignement supérieur, du travail, de l’économie et de la planification, du tourisme), de la Chambre de commerce ainsi que des
  représentants du secteur privé. La direction de l’EFTP, sous l’autorité de son directeur, travaillera en étroite collaboration avec le BEPE
  et d’autres services compétents du MENFOP ainsi qu’avec des représentants d’autres ministères compétents à la définition des termes
  de référence pour une assistance technique visant à la mise en place de la direction nationale et à la fourniture de l’appui nécessaire au
  renforcement de sa structure et de ses capacités.

  Centre de recherche, d’information et de production de l’Éducation nationale (CRIPEN). En collaboration avec les proviseurs des écoles,
  les inspecteurs, la DGAC et d’autres services de la DGP, le CRIPEN assumera également la responsabilité principale dans la définition
  et la mise en place d’un système efficace de distribution de manuels scolaires en s’appuyant sur l’assistance technique et la formation.
  Le CRIPEN a été fondé en 1990 en tant que centre semi-autonome responsable de la recherche en matière d’éducation, du
  développement de programme d’études et de la production d’informations. Le CRIPEN a été le principal acteur et maître d’œuvre du
  Schéma directeur pour l’éducation en intervenant pour développer et produire localement des manuels scolaires destinés à tous les
  niveaux d’enseignement du pays dans le cadre d’une approche de l’enseignement fondée sur la compétence. Il est ainsi parvenu à
  produire des manuels pour les classes de niveau 1 à 9 et prépare actuellement des manuels destinés à l’enseignement secondaire.

  B.         Suivi et évaluation des résultats

  Le Cadre de résultats du projet sera utilisé pour le suivi et l’évaluation du projet. Le suivi des résultats du projet sera axé sur
  l’avancement et la mise en œuvre de diverses composantes et activités. Sous la supervision du CPP, le BEPE – assisté d’un spécialiste
  en suivi et de l’évaluation (S&E) – aura pour responsabilité de préparer des comptes rendus d’avancement en collaboration avec les
  directeurs des différents services. Des rapports trimestriels brefs et standardisés seront produits par chaque service en fonction des
  progrès accomplis dans la mise en œuvre du programme de travail. Ceux-ci seront compilés par le spécialiste en S&E du BEPE et
  transmis au CPP pour examen avant leur réunion trimestrielle. À la fin du quatrième trimestre de l’exercice fiscal, le BEPE, en
  collaboration avec la DPI et le DRHF, préparera un rapport annuel consolidé qui servira d’introduction à l’examen annuel et viendra en
  appui de la préparation du cycle budgétaire en plus d’apporter une contribution à la préparation et à la révision du programme de travail
  annuel de l’année suivante, en fonction du plan du secteur éducatif.

  Par le biais de l’assistance technique, le BEPE et les directions responsables de la mise en œuvre des composantes du projet
  développeront un outil de S&E pour le projet susceptible de faciliter le suivi des diverses activités. Du personnel désigné au sein des
  directions ainsi que le spécialiste en S&E du BEPE seront formés à l’utilisation de l’outil.




VII. Politiques de sauvegarde (y compris consultation publique)
       Politiques de sauvegarde déclenchées par le projet                                                         Oui                Non
       Étude environnementale OP/BP 4.01                                                                                               X
    Habitats naturels OP/BP 4.04                                                         X
    Forêts OP/BP 4.36                                                                    X
    Gestion des espèces nuisibles OP 4.09                                                X
    Ressources culturelles physiques OP/BP 4.11                                          X
    Populations autochtones OP/BP 4.10                                                   X
    Réinstallation involontaire OP/BP 4.12                                               X
    Sécurité des barrages OP/BP 4.37                                                     X
    Projets sur les voies navigables internationales OP/BP 7.50                          X
    Projets dans les zones de conflits OP/BP 7.60                                        X

VIII. Point de contact
    Banque mondiale
    Contact : Safaa El Tayeb El-Kogali
    Titre :      Économiste en chef
    Téléphon
             458-0007
    e:
    Courriel : selkogali@worldbank.org

    Emprunteur/client/bénéficiaire
    Nom :        Ministère des Finances
    Contact : S. E. M. Ilyas Moussa Dawaleh
    Titre :      Ministre
    Téléphon
             253-325105
    e:
    Courriel :


    Organismes d’exécution
    Nom :        Ministère de l’Éducation nationale et de la Formation professionnelle
    Contact : S. E. M. Moussa Ahmed Hassan
    Titre :      Ministre
    Téléphon
             253358777
    e:
    Courriel : Moussa_ahmed@intnet.dj; samou_ahmed@yahoo.fr


IX. Pour de plus amples renseignements, contactez :
    L’InfoShop
    La Banque mondiale


    1818 H Street, NW
Washington, D.C. 20433
Téléphone : (202) 458-4500
Télécopieur : (202) 522-1500
Site Web : http://www.worldbank.org/infoshop